Dernier bastion's video: Le Multiculturalisme n existe pas et personne n en veut Adrien Abauzit

Le multiculturalisme n'existe pas. La culture n'étant pas seulement des mœurs, elle est aussi des codes, une manière de se comporter et d'appréhender la vie. Soit deux cultures ne se mélangent pas et donc elles ne se comprennent pas et donc il n'y a pas de multiculturalisme. Soit ces deux cultures se comprennent, mais alors, la seule manière pour que cela se produise est que chacune se fonde l'une dans l'autre. Autrement dit, qu'elles se mélangent, et donc se détruisent en n'en formant au final qu'une seule. Le multiculturalisme est un mot piégé afin de créer un homme unique, facile à manipuler et facile à comprendre. Car étant partout le même. (Ayant partout les même codes, partout les mêmes références, partout les mêmes aspirations.) La promotion de la diversité n'est qu'une manière de la détruire. Car si on est réellement partisan de la diversité, il ne faut donc pas y toucher et souhaiter une immigration à une dose qui va de: modéré à infinitésimal. Car il y'a assez de diversité au sein d'un même pays et d'une même ville. Si on arrive pas à voir la diversité qu'il y'a chez les gens de chez nous, de notre même origine, il ne sert à rien de vouloir la chercher ailleurs. En faisant venir des étrangers à flot continue. A force de laisser ouvert le robinet de la diversité, un jour, il n'y en aura plus. Je ne pense pas que les renards devraient immigré au fond des océans, même si ils le pouvaient. Et je ne pense pas non plus que le monde arabe devrait rencontré le monde occidentale dans ces proportions. Je ne pense pas que l'homme noir devrait côtoyé l'homme blanc aussi souvent que ça se fait aujourd'hui. Ce n'est pas la haine de l'autre qui motive ces mots, c'est au contraire l'amour de soi et des siens. L'affection passe par le privilège. Si on privilégie tout le monde, il n'y a pas d'amour, il n'y a plus de règle, il ne reste qu'indifférence et chaos. Ces derniers mots rappellent étrangement le monde dans lequel on vit. Que chacun aime d'abord les siens, et tout le monde sera aimé.