Marc Leroy's video: Rwanda qui profite le crime Bernard Lugan Jacques Hogard et Michel Robardey - mars 2014

Le 10 mars 2014, Roger Saboureau recevait dans son Libre Journal sur Radio Courtoisie l’historien africaniste Bernard Lugan, par ailleurs expert auprès du Tribunal pénal international pour le Rwanda, le colonel Jacques Hogard, à la tête d’un bataillon de Légion Etrngère pendant l’ « opération Turquoise » et Michel Robardey, officier de gendarmerie ayant servi au Rwanda de 1990 à 1993, pour évoquer les dramatiques évènements ayant eu lieu en 1994 dans ce pays d’Afrique francophone, généralement qualifiés dans les médias sous le terme de génocide rwandais. Un drame abominable plongeant ses racines sinistres dans une longue histoire d’opposition tribale entre minorité Hutu et majorité Tutsi pour le contrôle du pays, et principalement déclenché par l’attentat ayant coûté la vie au président Juvénal Habyarimana, le 6 avril 1994. Attentat auquel le FPR de Paul Kagamé, aujourd’hui au pouvoir au Rwanda et grand accusateur de la France pour une prétendue « complicité de génocide », a très certainement (et au grand minimum) participé. Toute occasion est trop belle pour calomnier la France, et fragiliser sa position dans le monde, et singulièrement en Afrique : dans cette dramatique histoire, Paul Kagamé n’a pas été le seul, loin s’en faut, à calomnier notre pays et ses militaires pourtant intervenus pour séparer les belligérants : tout ce que nos médias bien français et notre « intelligentsia » post soixante-huitarde compte de porte-flingues et de délateurs mal intentionnés s’en est donné à cœur-joie, et cela jusqu’à l’ignoble, piétinant l’honneur de notre pays et de ses soldats. Cette émission permet fort heureusement de remettre les pendules à l’heure. Elle fait œuvre d’histoire, de justice et en réalité de réinformation. Et elle vous permettra sans aucun doute de savoir enfin quoi penser et surtout quoi répondre à tous ceux qui n’ont décidément qu’une seule obsession : salir et rabaisser la France, par tous les moyens, même les plus abjects, et en toutes circonstances. Marc LEROY – La Plume à Gratter « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » La Boétie www.laplumeagratter.fr